Les résultats du 
"Prix Pampelune 2025"
sont disponibles !
 
Vous étiez nombreux à proposer votre texte. 
L'équipe du Prix Pampelune vous remercie de leur avoir permis de partager, le temps d'une lecture, un peu de votre précieux talent d'écrivain.
En guise de remerciement, la version Ebook du recueil de l'édition précédente vous est offerte.
(Vous la recevrez dans un mail personnel.)
 
Le nouveau recueil est déjà disponible ! 
Vous le trouverez sur le site bod.fr 
et prochainement sur fnac.com, amazon...
En version papier et bientôt en version numérique.
Pour le site bod.fr, veuillez suivre ce lien :
 
 
La nouvelle lauréate du Premier Prix est intitulée : 
"Par-delà le Mur de la Colonie" de Maël Lufiacre. 
 
La nouvelle lauréate du Second Prix est intitulée : 
"Le château" de Jean-Pierre Leroy. 
 
Maël Lufiacre remporte 250 € pour le Premier Prix.
Jean-Pierre Leroy gagne 50 € pour le Second Prix.
Leurs nouvelles sont publiées dans le recueil 
du concours « Prix Pampelune 2025 ».
 
 
 

Voici les vingt auteurs sélectionnés

pour être publiés dans le recueil :

 

 

"Entre les lignes" de Laurent Bonnifait

"Le cabinet de curiosités" de Pierre Buffiere de Lair 

"La plaque funéraire d’Imar" de Pauline Haas 

"Aveinashê" d'Adrien Aymard 

"Un si lointain soleil" de Charles Garatynski 

"L’exposition" d'Audrey Sabardeil 

"Jour de chasse" d'Olivier Rovelli 

"Mon beau sapin..." de Janine Jacquel 

"La Dame du Kordofan" de Jean-Pierre Sombrun 

"Tu es leur fille" de Mounia Lbakhar 

"Cabriole" d'Emmanuelle Refait 

"Le père Lebigre" de Michel Pontoire 

"Le dernier chant d’Alaric Dael" de Jacques Dujardin 

"Tous pour un" de Corinne Rigaud 

"Ne faites pas ça" de Philippe Guihéneuc 

"Quatre murs et un toit" de Cyril Ducollet 

"Les voisins" de Françoise Dantreuille-Vitcoq 

"Connexions" d'Olivier Ngo 

"Rappelle-toi, barbe à rats..." de Denis Julin 
Et une mention spéciale pour la plus jeune lauréate de tous les Prix Pampelune : (dix ans)
"Le grenier aux carnets" de Charlie Corlay
 
 
Je félicite chaleureusement chaque participant !
 

La galerie de portraits des lauréats

du Prix Pampelune 2025

(Les autres portraits sont en cours de réalisation)

 

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La nouvelle lauréate du Premier Prix 

est à découvrir ci-dessous.

Elle sera suivie de l'interview de l'auteur.
 
 

Par-delà le Mur de la Colonie

Maël Lufiacre

 

 

           Pas, après pas, après pas, après pas, après pas, après pas. Je suis les longs couloirs creusés à même la terre. Je porte une lourde charge sur mon dos. De la nourriture pour la reine. Je ne fatigue pas. Je marche. Parfois, je dois me tordre un peu pour franchir un coude. Parfois, je croise mes congénères. Je les sens toujours avant de les voir. Je connais parfaitement leur odeur. Je l’ai sentie toute ma vie. Dans mon cocon, je ne sentais rien ; maintenant, je sens tout. Enfin, tout ce qui est dans la colonie. Je sors à peine. On trouve toujours à manger juste en surface. Je n’ai pas d’autres souvenirs que les couloirs de la colonie, et l’odeur de mes congénères. Je me demande si les plus anciennes d’entre nous se souviennent d’autre chose.
Je me demande... Et je m’arrête. C’est rare, mais je m’arrête de marcher un instant. Je ne peux l’ignorer : le long des couloirs, toujours du même côté, il n’y a pas de terre. Je ne sais pas ce que c’est. C’est solide, on peut marcher dessus, mais je peux voir à travers. Je ne peux pas sentir à travers. Et de l’autre côté, je distingue des formes, des couleurs, parfois des mouvements. Je me demande souvent ce que ça veut dire. Je n’ai jamais demandé aux autres. Elles ne s’arrêtent jamais, jamais. Les couleurs et les formes étranges ne les intriguent pas.

Je me demande... Mais je suis interrompue. On me bouscule. Sans même s’arrêter, une de mes semblables me marche dessus, patte après patte après patte après patte après patte après patte. Elle ne jette même pas un regard dans ma direction, et encore moins vers... l’extérieur.

L’extérieur. Il vient d’y avoir du mouvement. Une forme s’approche. Elle est très lente. Elles le sont toujours. Le mouvement vient vers la colonie, par le dessus. Je ne suis pas très loin. Je laisse tomber la nourriture. La reine attendra. Je suis sûrement la première fourmi à penser ça.

Je monte ! Je monte, je monte aussi vite que je peux. Mes pieds s’accrochent à la terre, à ce mur étrange. Je me contorsionne, j’accélère. Je croise d’autres ouvrières, je leur marche dessus, elles sont trop lentes. Je suis la seule à pouvoir suivre mon chemin. Elles ne comprendraient pas. Le couloir menant à l’extérieur est là. Je le remonte. Et je sors.

Le voile opaque qui recouvrait la colonie s’en est allé. Je le vois, plus loin dans les airs, tenu par cette forme qui s’approchait. Mes antennes sont en alerte maximale : au-delà de la colonie, je le sens, je le sais, se trouvent de nouvelles expériences. De nouveaux sentiments. La forme se rapproche. C’est un être vivant, comme moi. Non. Pas comme moi. Bien plus grand. Son corps est différent, il semble avoir moins de pattes, pourtant au bout de ses pattes s’en articulent d’autres, plus petites, chacune semblable aux miennes. Mais bien trop rigides, et molles en même temps. Et qui bougent d’une façon si étrange. Cette créature ne possède pas d’antennes, et pourtant elle semble ressentir également. Peut-être même ressent-elle plus fort. Peut-être même ressent-elle plus vrai.

Elle semble être tournée vers moi. Je n’ai jamais ressenti une telle excitation, je la sens mêlée à une appréhension de cette vie inconnue, à l’opposé du confort connu de la colonie. Je m’approche de la créature.

Elle tend vers moi son membre difforme. Sa chair se pose à mes pieds. J’y plante une de mes griffes. Cette chose est si grande que cela ne semble pas lui faire mal ; je n’ai même pas pénétré sa peau. Je m’accroche, je me hisse de quelques pas. Et soudainement je m’envole. Accrochée à l’immense être qui m’emporte, je m’éloigne de la colonie plus vite que je ne saurais courir. Au-delà de sa chair, je vois le chemin qui m’attend : des vallées informes de matières que je n’ai jamais vues, posées contre l’être magnifique, des monts qui se superposent et dont les dimensions m’échappent. Et loin en- dessous de moi, de nous, je discerne des formes que je peine à imaginer. Des lignes parfaitement droites. Des enchevêtrements de géométrie impossible. Des formes ordonnées, pourtant si chaotiques. L’habitat naturel de cet être.

Je sais où je dois aller. Où je veux aller. Je veux rencontrer cet être. Je veux m’approcher au plus près de sa conscience. Je m’élance à sa rencontre. Je traverse, sur sa chair, une forêt de filaments plus grands que moi, poussant à même la peau, jusqu’à atteindre cette matière étrange qui le recouvre. Je sens que la créature m’observe, me juge. Je la sens bouger son membre, m’approchant déjà d’elle. J’ai du mal à évoluer sur le terrain blanc, constamment changeant. La créature le remarque. Elle pose son autre membre devant moi, freinant ma course. Qu’à cela ne tienne, je grimpe derechef. Et lorsque j’arrive en haut, voilà qu’elle me porte en face d’elle. Face à son visage.
Ici, je suis son égal.
Je ne tends même pas mes antennes. Je comprends bien que cette forme de vie est au-delà de ce que mes pauvres organes peuvent saisir. Les siens sont bien plus gros. Deux gigantesques sphères blanches, au centre desquelles une autre sphère bleue encadre une troisième sphère, dans laquelle se concentre la plus noire des obscurités. Je scrute ce puits sans fond, qui me scrute en retour.

Et soudain, je comprends.
Je comprends que la colonie n’est qu’une infime fraction de l’existence. Je comprends que je fais partie d’un tout, qui me réduit à l’insignifiance, mais qui ne serait pas le même sans moi. Je comprends la logique qui unit les valeurs qui régissent le monde, je comprends les lois inaltérables de notre univers, je comprends que plus nous découvrons, plus il y a à découvrir. J’appréhende désormais sans difficulté les étranges formes de cet endroit, et la profondeur que peut avoir une conscience. Je suis effrayée, j’ai peur, mais je ne me suis jamais sentie aussi bien. Je comprends tout.
L’être humain éloigne sa main. Son visage rapetisse, je suis si loin désormais.
Et soudain, j’oublie.
Non, je ne veux pas oublier. Alors que l’être... L’être quoi ? Me dépose près de l’entrée de la colonie, je ne veux pas y retourner. Je retourne les informations dans mon cerveau dans tous les sens, je dois les garder ! Mais je n’en ai pas la 
capacité, je le sais. Je dois essayer. La connaissance fuit de mon cerveau, il n’est pas assez grand pour tout contenir.
Il déborde. Une autre fourmi sort de la colonie. Elle ne voit pas ce que je vois, elle ne sait pas ce que je sais. Mais que sais- je ? L’être scelle à nouveau la colonie du reste du monde, par ce même voile opaque. Ma semblable – sommes-nous encore semblables ? – vient à ma rencontre. Je dois lui dire, je dois lui transmettre ! À elle, et aux autres, et à la reine !

Que lui transmettre ? Comment évoquer ces informations avec un langage aussi simpliste que le nôtre ? Jamais des phéromones ne pourront contenir les raisonnements géométriques que je sais... que j’ai su. Quels sont-ils ? Je ne sais déjà plus rien. Je sais simplement qu’au-delà du mur de la colonie, il existe bien plus de choses qu’on n’oserait l’imaginer, qu’on ne pourrait l’imaginer, des expériences qui transcendent nos sens, notre existence, un tout qui est fait de rien mais aussi de nous.

Je ne sais pas combien de temps est passé depuis ma sortie. J’essaie simplement d’y retourner. Je ne travaille plus pour la reine. Je sers une cause bien plus grande. Les autres ont, de multiples fois, essayé de me remettre au travail, sans succès. Elles pensent vouloir mon bien, mais la pensée de m’abrutir une seule seconde de plus à apporter des miettes à la reine, m’est insupportable. Elles veulent mon bien mais causent mon mal. Elles sont incapables de comprendre comme je comprends. Alors, je creuse la... Ça a un nom, mais lequel ? Ce mur cristallin qui me sépare du monde extérieur, de mon monde. Ça ne vient pas. Ce n’est pas comme la terre. Je frappe, je frappe mon crâne contre la... Espérant lui faire plus

de dégâts que je n’en fais à moi-même. Je souffre. Je m’arrête. Je ne me suis pas nourrie depuis si longtemps. J’ai refusé tout ce que les autres m’ont offert. Je sais qu’il existe de la nourriture bien plus fine, plus délicate, meilleure en tout point, quelque part au-delà de cette...

Je n’ai plus la force. Je m’écroule. Et je meurs.
Je sens la mort. Les autres me sentent morte. Elles s’y mettent à plusieurs, et me portent. Elles m’amènent jusqu’aux tréfonds de la colonie, là où s’entassent les morts. Je suis encore consciente, mais à leurs antennes, mon odeur de mort équivaut à mon décès. Elles ne se posent pas de questions. Je suis déposée sur une montagne de cadavres, tous sentant comme moi. Et laissée seule.
Le temps passe. Les idées rémanentes qui impriment encore mon cerveau telles autant de brûlures me lacèrent l’esprit. Mais... Là-bas, dans le coin. J’aperçois la... Elle est là. Je contemple, à travers, ce monde que j’ai connu un instant comme si j’y avais vécu. Et... Il y a un trou. En cet endroit où ne résident que les morts, personne n’a jamais vu ce trou. Il est de toute façon trop petit pour nous... Comme nos cerveaux sont trop petits pour le monde. Mais je dois essayer. Je me hisse jusqu’au passage, entre la... et la terre. J’y glisse une patte. Je sens déjà l’air extérieur s’insinuer jusqu’à mes antennes. Ma tête ne passe pas. Je force. Je force, encore, encore... Ma tête passe, mais mes antennes bloquent. Je force jusqu’à les arracher. Elles tombent, inertes, à côté de moi. Je n’en aurai plus besoin, de toute façon. Je parviens à glisser mon thorax sous la... La vitre ! Oui ! Je vois le monde extérieur! Je glisse mes pattes, je me tords dans tous les sens, je broie ma chair pour m’extirper de ce trou ! Je devrais sûrement éprouver une forte douleur, et une peur d’autant plus grande, mais l’euphorie est bien plus forte !
Une fois dehors, je peine à me déplacer. Je ne verrai jamais plus la colonie. Si je croisais une de mes congénères, elle ne me reconnaîtrait pas, et m’attaquerait sûrement. Je n’ai plus besoin d’elles. Je ne sais pas où aller, mais je sais que je dois y aller. Seule, car aucune autre ne sera capable d’entamer ce voyage. Ici est ma place, pas la leur. Aucune autre ne sera capable de comprendre.

 
 
 
 
 
L'interview de Maël Lufiacre.
 

 

1 - D'ordinaire, votre texte final est-il proche ou très différent de votre premier jet ?

Cela dépend beaucoup des projets ! J'écris également des scénarios, qui ont tendance à passer par plus de versions que mes textes de romans/nouvelles. Pour ce texte-ci, j'ai changé la structure quelques fois avant d'écrire le premier jet, qui a donc été presque directement la version finale.

 

2 - Cette nouvelle a-t-elle été écrite dans le cadre d’un roman, d’un recueil de nouvelles avec un fil conducteur ou simplement l’idée vous est-elle venue de manière spontanée pour un concours ?

C'était une idée que j'avais notée il y a quelques mois, en lisant sur Internet une personne expliquant le concept d'horreur lovecraftienne en le mettant à l'échelle d'insectes. Je voulais écrire cette histoire, et le prix Pampelune était l'occasion parfaite ! Je l'ai donc ressortie de mon tiroir à idées pour lui donner sa chance.

 

3 - Participez-vous souvent à des concours de nouvelles ?

J'ai participé cette année à 13 concours entre octobre et mars, car en tant qu'auteur émergent, je voulais me forcer à aiguiser ma plume en m'imposant ces deadlines. Mener à terme un projet d'écriture n'est pas facile, aussi je voulais développer une méthode de travail à travers cette série de concours. De ces 13 projets, Par-Delà le Mur de la Colonie est le dernier en date, et également le premier à décrocher un prix ! Une belle morale sur la persévérance s'il en est.

 

4 - Écrivez-vous un peu chaque jour ou plutôt lors de sessions d’écriture longues et intensives ?

 Même si j'aimerais écrire un peu chaque jour, je suis plus à mon aise lors de longues sessions d'écriture. Atteint de troubles de l'attention, j'ai toujours eu des difficultés à me mettre à écrire si toutes les conditions parfaites ne sont pas réunies ; et donc à prendre de bonnes habitudes de travail. Mais, et je pense que tous ceux qui écrivent connaissent bien ce sentiment, une fois que l'inspiration frappe, les mots partent tout seuls et les minutes s'égrainent à une vitesse folle, comme si on passait dans une dimension alternative où rien d'autre ne compte. Pour ce que ça vaut, je partage ma petite technique pour rester concentré : dès que je sens mon attention divaguer, je lance une partie d'échecs en ligne, ou de Tetris, et une fois le jeu fini, je peux me remettre à écrire. Cela me permet de me concentrer sur quelque chose de précis qui ne dure qu'un temps limité. À chacun sa méthode !

 

5 - Êtes-vous auteur à temps plein ou avez-vous un ou des autres métiers en parallèle ?

 Je suis auteur émergent ! Nouvelles, scénarios en tout genres, n'occupent que la moitié de mon temps. Autrement, je suis Game Master auto-entrepreneur pour des escapes games en région parisienne ! Je vois ça comme une autre façon de raconter des histoires.

 

6 - Lisez-vous un peu, beaucoup, à la folie, passionnément ou pas du tout ?

Comme beaucoup, je dévorais des romans à la chaîne lorsque j'étais au collège, puis j'ai arrêté brusquement de lire en entrant au lycée. Après mes études (trois ans de cinéma et de scénario), je me suis forcé à lire, et j'ai retrouvé le goût du roman en découvrant Les Annales du Disque-Monde, de Terry Pratchett. Et c'est connu, plus on lit, plus il est facile de lire !

 

7 - Avez-vous suivi des cours d’écriture, des ateliers ou des formations dans ce domaine ?

Oui, j'ai étudié trois ans au Conservatoire Libre du Cinéma Français, à Paris ; et si les deux premières années formaient aux métiers du cinéma en général, je me suis spécialisé en scénario pour la troisième.

 

8 - Vous adonnez-vous à l’écriture depuis longtemps ?

Depuis tout petit : je n'aurais sans doute jamais appris à écrire si ça n'avait pas été l'un des meilleurs moyens de raconter des histoires. J'ai gagné, au collège, le premier prix d'un concours de nouvelles municipal : de quoi me motiver à continuer à vie.

 

9 - Quels sont vos futurs projets d’écriture ?

En ce moment, je travaille sur deux court-métrages (l'un parle d'une grand-mère qui joue aux jeux vidéos ; l'autre d'une femme cherchant son mari, qui a disparu en faisant "pouf") ; une web-série (qui parle de démons bureaucrates)... Tout est déjà écrit, et je mène en parallèle les réécritures et la recherche de productions.

 

10 - Avez-vous déjà publié un recueil ou un roman ?

Jamais ! Mais j'adorerais en avoir l'occasion plus souvent.

 

11 - Pour vous, écrire relève-t-il plus du domaine de la lutte intérieure ou d’un exercice fluide et harmonieux ?

Je trouve que c'est un peu un mélange des deux : la lutte intérieure finit par aboutir à l'harmonieuse fluidité, qui débouche sur de nouvelles luttes, qui à leur tour, etc. C'est un peu comme naviguer sur la mer : parfois c'est très calme, mais lorsque c'est la tempête, c'est de là que l'on tire les plus passionnants récits (même si ce n'est pas très drôle d'être pris en pleine tempête, certes).

 

12 - Avez-vous un site pour vos créations littéraires ? Si oui, lequel ?

Pas de site pour l'instant (c'est en projet), mais voici de quoi accéder aux court-métrages réalisés d'après mes scénarios https://drive.google.com/drive/folders/1U8iYXZPaVDMKAyqABxWty6_QXOi0wUg7?usp=drive_link
 

 
 
 
 
 
 
Passionnés d'écriture, à vos stylos !

 

La sixième édition

du Prix Pampelune est ouverte

 

 

Le thème est libre

La date limite d'envoi de votre nouvelle est le 25/02/2025 avant minuit

 

 

LES PRIX :

 

  •  Le lauréat du Premier prix recevra 250 €

  • Le Second Prix recevra 50 €

  • Un recueil des meilleures nouvelles sera édité en Broché et en Ebook

Il sera disponible sur différentes plateformes de vente en ligne

(Fnac, Amazon, Kobo...)

  • Tous les participants recevront le recueil du Prix Pampelune

de l'année précédente en format Ebook !

 

 

LE JURY :

Ségolène Tortat (Autrice Poétesse)
 

Martin Trystram (Scénariste et dessinateur BD)

Pascale Leconte (Romancière)

 

 

 

CONDITIONS DE PARTICIPATION :

 

- Chaque candidat devra nous faire parvenir un texte inédit dans le genre de son choix, en format Word, pdf ou odt, comportant maximum 13 000 caractères (espaces non compris).

- Une seule nouvelle par participant.

- Les frais d’inscription doivent être acquittés (5 €) de préférence par virement bancaire (Rib à demander par mail : panpelunee@yahoo.fr). Ou par chèque à l'ordre de "Pascale Leconte". Merci de noter votre mail afin que je puisse directement vous confirmer sa réception. À envoyer :

Adresse : Prix Pampelune. 8 Place Antonio Gaudi. 34070 Montpellier.

- Il n'y a pas de limite d'âge pour participer au concours.

- Les lauréats des éditions précédentes sont autorisés à concourir à nouveau.

- La nouvelle proposée ne doit jamais avoir été primée lors d’un autre concours.

 

 

ENVOI DES TEXTES :

 

- Fichier numérique au format Word, pdf ou odt, comportant en objet le nom du concours "Prix Pampelune" à panpelunee@yahoo.fr

- Informations à préciser dans le mail (à envoyer à panpelunee@yahoo.fr) :

 

PRÉNOM, NOM, DATE DE NAISSANCE, ADRESSE,

TÉLÉPHONE, COURRIEL, TITRE DE LA NOUVELLE

Et comment avez-vous entendu parler de ce concours ?

 

 

Date limite d’envoi :

25/02/2025 à minuit

 

 

Informations importantes :

 

Le lauréat ou la lauréate du premier prix recevra 250 euros. Et celui du second prix recevra 50 euros par virement bancaire européen.
Les deux nouvelles primées ainsi qu'une quinzaine de textes retenus par le jury feront l’objet d’une édition papier et ebook par nos soins que les candidats pourront se procurer moyennant une participation.
L’inscription au concours vaut acceptation pour l’édition, sachant que les textes peuvent être édités sous pseudonyme.

Les candidats s’engagent à ne pas demander de droits d’auteur en cas de publication de leur texte. Il s'agit de renoncer uniquement au droit d'auteur dans le cadre du recueil des récits lauréats édités pour le "Prix Pampelune". Les candidats lauréats conservent leurs droits d'auteur sur leur nouvelle si elle est publiée ultérieurement dans un autre ouvrage. Par contre, leur nouvelle ne sera plus inédite et elle ne pourra plus être proposée à d'autres concours.

 

 

Les résultats seront donnés début avril 2025 sur cette page.

 

 

Pour être tenu informé, il est conseillé de cliquer sur "J'aime" la page facebook du concours :

https://www.facebook.com/prixpampelune/?modal=admin_todo_tour

 

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