PRIX PAMPELUNE 2023

RÉSULTAT DU CONCOURS

 

 

Tout d’abord, je tiens à remercier personnellement chacun des participants de cette quatrième édition du "Prix Pampelune 2023" !
Décidément, être le jury n’est pas une chose facile lorsqu’il y a autant de textes de qualité à départager…
De nombreux récits n’ont pu être gardés pour le recueil,

alors qu’ils étaient magnifiques.
Aussi, qu'importe le résultat de ce concours, continuez à écrire et à diffuser votre travail d'auteur : le monde est plus beau grâce à vous !
En guise de remerciement, la version Ebook du recueil des nouvelles lauréates de l'édition précédente vous est offerte !
(Vous la recevrez dans un mail personnel.)
 
De plus, cette année, Martin Trystram, scénariste-dessinateur de BD et l’un des membres du jury, nous a fait l’honneur de réaliser la couverture du recueil !
Je vous laisse la découvrir ci-dessous.

Ce nouveau recueil est désormais disponible en version papier,

voici le lien direct :

https://www.bod.fr/librairie/labsente-pascal-arnaud-gerard-megret-9782322186730

 

Et bientôt en version numérique.
Le livre sera aussi distribué sur les sites de ventes en ligne (Fnac, Decitre, Amazon…) dans les semaines à venir.


La nouvelle lauréate du Premier Prix est intitulée :

 

« L’ABSENTE »
Écrite par Pascal Arnaud.
 

 

 
 La nouvelle lauréate du Second Prix est intitulée :

 

« DEMI-VIES »
Écrite par Gérard Megret.


Pascal Arnaud remporte les 200 € pour le Premier Prix.
Et Gérard Megret gagnera 50 € pour le Second Prix.
Leurs nouvelles seront publiées dans le recueil

du concours « Prix Pampelune 2023 ».

 

 

Et voici les 19 auteurs sélectionnés

pour être publiés dans le recueil :

 


« Passion Prophétique », Stéphanie Mourier

« Sortilège d’Adieu », Patricia Lautre

« Nous ne nous rencontrerons jamais », Patrizio Fiorilli

« Baiser de rideau », Bastien Autuoro

« Pandore », Emilie Tartaroli

« The Agnostic », Gonzague Yernaux

« Retour de Flamme », Brice Gautier

« Rien de nouveau sous le soleil », Xavier Chapuis

« Un souvenir d’enfance », François Marie

« Le Privé », Claude Darragon

« Visiteurs, devant vos yeux ébahis », Téha Romain

« Le vieil homme et l’amer », Hervé Beghin

« Changement de cap », Lucie Duranton

« Gris », Shanour Kargayan

« Taille Mannequin », Marine Firmin

« Cinquante mots », Thomas Lop Vip

« Le silence de Henri Transmontagne », Danielle Ouellet

« La justice polienne », Eudes Boyer

« Le couteau et la mouette », Ferdinand Barrett


 
 
Je félicite chaleureusement chaque participant !

 

 

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Le lien direct vers le site BOD.FR pour acheter le recueil :

 

https://www.bod.fr/librairie/catalogsearch/result/?q=pampelune

 

La galerie de portraits des lauréats du Prix Pampelune 2023 :

(Les autres portraits sont en cours de réalisation)

 

 

 

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La nouvelle lauréate du Premier Prix

est à découvrir ci-dessous,

elle est suivie d'une courte interview

de son auteur Pascal Arnaud :

 

 

 

 

 

L’absente

Pascal Arnaud

 

 

 

 

Le bord du seau carré racle les graviers. Seule une pellicule d’eau avance sur la paroi horizontale de plastique bleu que Lilouan doit vite relever pour emprisonner la valeur d’un bol de liquide. Il le transvase aussitôt dans un bidon. Combien de temps lui faudra-t-il pour le remplir ? Le mois d’avant, la fosse qu’il a creusée dans le lit asséché du ruisseau se chargeait d’assez d’eau pendant la nuit pour y puiser quelques dizaines de litres dans la journée. Aujourd’hui, il n’en tirera pas même un jerrican, se résigne-t-il.

Lilouan n’est pourtant pas homme à renoncer. Dès l’automne, les alarmes de son pluviomètre, renforcées par un déficit hivernal jamais vu, lui ont fait établir un plan anti-sécheresse, basé sur la diversité des approvisionnements, qu’il applique avec rigueur depuis le retour de la végétation : eau du ruisseau pour le potager, eau de récupération des toits pour les plantations d’agrément, eau de source pour la consommation domestique. Avec un service minimum du ciel, il devait passer l’été. Mais le ciel en aura décidé autrement : pas une goutte en six mois. Et une canicule qui n’en finit pas ! Résultat, le dix-neuf août : source tarie, réserves d’eau de pluie vides, ruisseau à sec.

La Vinette transformée en oued ! L’an dernier, au printemps, Marjolaine s’y baignait encore. Même très malade, elle aimait l’eau froide, son corps affaibli en réclamait les douces morsures, l’eau était pour elle un être vivant dont le contact était vital. De la rive, elle la regardait déboucher du bois de chênes pubescents, franchir en cascade un énorme bloc de pierre, se calmer à ses pieds en une longue piscine naturelle, et enfin se carapater en joyeuses cabrioles à travers un dédale de roches. Alors, Marjolaine se mettait nue, entrait dans l’onde avec délice. Elle nageait une brasse tranquille, allait et venait sans éclaboussures, le menton à fleur d’eau. L’objet de la baignade n’était pas un exercice de sport ou d’hygiène ; Marjolaine ne recherchait que l’union, le corps à corps, l’amour avec l’eau glacée. Glissant sur la surface moirée, son visage rayonnait.

Lilouan se laisse tomber sur les fesses dans les galets, au pied du mur de deux mètres qu’est devenue la berge de la Vinette. Ici, à l’ouverture de la pêche, il a sorti une belle fario qu’il a embrassée avant de lui rendre sa liberté. Il la revoit filer entre ses mains, telle une flèche, dans les transparences bronzées de ruisseau. Il se tenait accroupi sur le rocher auquel, maintenant, sa tête vient s’appuyer. Quel désastre ! D’amont en aval, sur tout le parcours, la Vinette n’est plus qu’une coulée de rocaille. La Vinette a disparu ! La Vinette est morte !

Une voix pierreuse roule jusqu’à lui :


– Louan ! Alors, je t’emmène ?


C’est Enric.


– Non, Ricou ! Tu sais bien que je reste. Je pars pas, je veux pas quitter Les Cirses.


– Tu vas crever comme tes poules, Lilou ! Ton âne est plus intelligent que toi !


Lilouan ne bouge pas, le regard fixé sur les cailloux, plus amarré que par une ancre. Il écoute l’attente muette de son ami, puis ses pas fouettés par les tiges raides des plantains, le ronflement de la voiture qui s’éloigne, s’éteint. À nouveau seul, il se lève, saisit le bidon au tiers rempli et remonte les cent mètres de côte qui le séparent de sa maison. Dix ans déjà ! Quand, au bout d’un interminable chemin, leur sont apparus la masse d’une grange de pierre, et, en contre-point, le fuselage d’un pigeonnier sur arcades, Lilouan et Marjolaine ont su qu’ils l’avaient trouvée, la demeure de leurs rêves. Six années à piocher la dure réalité des bâtisseurs, et ils s’y étaient installés pour toujours.

Trois packs d’eau minérale, déposés sous l’auvent, redisent à Lilouan sa folie. Il n’a concédé à Ricou que la garde de l’âne Cadou, faute de garantir à l’animal ses dix litres quotidiens d’eau pure. Le village, il le voit au loin, sur son piton rocheux que n’a pas cessé de mouiller la grande rivière. Mais rien ne l’arrachera à son bout de plateau, aussi aride deviendrait-il ! Son regard parcourt l’ocre de la prairie brûlée, s’attarde sur le bronze sale des bois d’où jaillit le squelette blanchi d’un châtaignier. Plus près, descendant vers la Vinette, une bande de terre nue entrecroise ses crevasses. Sur la bosse opposée, les noyers sont en berne, les cerisiers jaunis se déplument, le grand figuier affiche un air affligé. Paysage de désolation, orphelin d’un ciel avare qui ne répand plus sa manne liquide. Le long de la grange, les cirses en dormance ne rêvent plus. Écrasé de chaleur et privé de sa source de vie, le monde végétal n’en peut plus. Herbes et buissons ont capitulé, les arbres ont cessé de se battre pour remonter des profondeurs un reste d’humidité. Dans le dessèchement général, jusque la soif les a quittés.

Seul résiste en ce désert la verte oasis du potager dont, jour après jour, Lilouan prolonge le sursis, à force de binages obstinés et d’arrosages stricts. C’est Marjolaine qui en a dessiné allées et plates-bandes, c’était elle qui le cultivait. À Noël, la neige est venue comme un cadeau. Marjolaine exige de quitter son lit et de marcher pieds nus au jardin. Ses traces la réjouissent. Message de glace qu’aucune canicule ne saurait faire fondre.

Le soir descend, les ombres s’allongent ; celle du pigeonnier s’étire jusqu’au hamac où Lilouan dépose sa carcasse épuisée. L’eau de Ricou est tiède, elle a un relent de métal, au contraire de l’eau de la source qui est fraîche et douce. Marjolaine l’a goûtée la première, trouvée exquise, et lui a tendu l’écuelle. Ils l’ont alors, non pas captée ni capturée, ils l’ont adoptée pour lui tracer un chemin à travers leur bonheur qu’elle a irrigué toutes ces années. Maintenant, elle s’est retirée, ou plutôt la sécheresse l’a volée ; la source s’est tue comme il y a six mois s’est tue Marjolaine.

Un vent tiède balaie le corps suspendu de Lilouan, une chaleur malsaine monte de la caillasse. L’eau, seule l’eau viendrait à bout de ce feu invisible qui dévore lentement Les Cirses. L’eau absente, l’eau qui fut si présente, l’eau qui ne revient pas. L’absence n’est pas un simple défaut de présence. L’absence en est la face cachée. Autant que la présence, l’absence est un état. Un état d’existence. L’état de l’eau et de Marjolaine. « Tu me manques plus que l’eau », murmure Lilouan.

Et le ciel de nuit se tend, piqué d’étoiles, les unes minuscules et à peine visibles, les autres d’une lumière intense, certaines avec un nom, la plupart anonymes, toutes participant au magistral mouvement horloger de l’univers, de tout temps observé par l’Homme pour l’admirer, l’interroger, le craindre, et l’implorer, alors qu’à cet instant où Lilouan le regarde, l’infini constellé ne montre qu’indifférence pour la terre et les êtres vivants qui l’habitent. Puis les étoiles s’éteignent toutes, comme soufflées par un vent cosmique, plongeant l’univers dans le noir. Lilouan se sent happé, il part à la dérive, son corps cramé vogue sur des vagues de suie, une odeur bitumée l’envahit. Et tout cesse.

La première goutte lui révèle son front. La deuxième sa main droite. Les suivantes ressuscitent tout son corps. Il pleut, une pluie lourde, drue, piquante à laquelle il ne croit pas, raide dans son hamac, saisi, sidéré. Mais tous ces impacts sur sa tête, ses membres, sa poitrine et son ventre, ces volées de flèches vivifiantes qui le traversent, cette flagellation qui réveille ses sens et ses désirs, ces salves de balles qui le criblent comme autant d’aiguillons de vie, non, il n’y a pas de doute, c’est la pluie ! La bonne, la grosse, l’énorme pluie ! L’eau du ciel qui tombe sur la terre ! L’eau qui est de retour ! L’eau qu’on n’espérait plus et qui est là !

Lilouan se lève. Il peine à tenir debout dans les cataractes qui envahissent tout l’espace. Ses pieds se recouvrent d’une nappe d’eau qui bouillonne, se divise en courants, part à la conquête de la terre sèche, des cent et mille parcelles qui avaient fini par en oublier la force et la douceur. Une eau urgente, pressée de frapper le sol, de se répandre ! L’eau de la réconciliation du ciel et de la terre ! Une symphonie rude, composée de martèlements, de flux, de glissades, de grondements lointains et de clapotis immédiats, célèbre l’événement. La lune est de la fête, qu’elle éclaire de son improbable projecteur.

Lilouan exulte. Tout son être participe à l’effervescence, au prodige. Il se rue dans la pente transformée en cascade. La Vinette ! La Vinette est grosse d’une eau folle qui cavale, danse, explose. La piscine est pleine, gonflée d’une eau joyeuse, libre, et au milieu, Marjolaine qui nage, va et vient, toute à son bonheur d’eau froide. Elle le regarde, pousse un rire triomphant, lui fait signe : Viens ! Alors Lilouan s’assoit sur la berge et se laisse glisser.

 

 

 

 

Interview du Lauréat Pascal Arnaud :

 

 

1 - D'ordinaire, votre texte final est-il proche ou très différent de votre premier jet (lorsque vous passez de la page blanche à la première version de votre récit) ?

Je n’ai pas à proprement parler de premier jet. Sur une idée générale que je mémorise dans un pitch de quelques lignes, plus un plan sommaire, je travaille par séquences, sans souci chronologique. J’effectue ensuite un montage. À ce stade, la construction de la nouvelle doit être bonne. Reste un travail long et méticuleux de peignage, comme s’il s’agissait du texte d’un autre, pour éliminer les incorrections (vocabulaire, orthographe, syntaxe) et obtenir un tout qui sonne juste.

 

2 - Cette nouvelle a-t-elle été écrite dans le cadre d’un roman, d’un recueil de nouvelles avec un fil conducteur ou simplement l’idée vous est-elle venue de manière spontanée pour le concours ?

La nouvelle est un genre à part entière, et pas un morceau de roman. Chaque nouvelle a sa logique propre, son indépendance, mais oui, l’idée de recueil n’est jamais loin, et un bon recueil a forcément une ligne directrice.

 

3 - Participez-vous souvent à des concours de nouvelles ?

Régulièrement, oui. C’est une excellente façon de trouver un public à des textes isolés, surtout quand l’organisateur/trice publie un recueil collectif (internet, papier, ou les deux).  Il ne s’agit pas seulement d’aller chercher un prix – ça fait toujours plaisir – mais aussi de participer à une action en faveur de la création littéraire et la lecture.

 

4 - Écrivez-vous un peu chaque jour ou plutôt lors de sessions d’écriture longues et intensives ?

J’écris tous les jours (ou presque) entre deux et quatre heures. Par écrire, j’entends aussi prendre des notes, griffonner des petits bouts de texte sans but précis. Lorsqu’il s’agit de réaliser un texte défini, j’entre dans une discipline plus rigoureuse.

 

5 - Lisez-vous un peu, beaucoup, à la folie, passionnément ou pas du tout ?

Beaucoup, avec plus de curiosité que d’avidité. Je m’attarde volontiers sur les textes qui me touchent.

 

6 - Avez-vous suivi des cours d’écriture, des ateliers ou des formations dans ce domaine ?

Les formations sérieuses (dont les universitaires) sont toujours utiles, souvent agréables. Les cours d’écriture, très répandus et reconnus aux Etats-Unis par exemple, commencent à sortir en France de leur réputation peu flatteuse, et je ne vois pas pourquoi on apprendrait la musique, la peinture, le théâtre dans des écoles / conservatoires, et pas l’écriture littéraire. Je ne suis pas passé par là, mais ce que j’en connais mérite au moins d’être regardé avec bienveillance.

 

7 - Avez-vous déjà publié un recueil ou un roman ?

J’écris beaucoup pour le théâtre. Mes pièces sont jouées, ce qui est une forme de publication. Certains de mes autres textes (nouvelles, poésie) sont publiés dans des revues.

 

8 - Pour vous, écrire relève-t-il plus du domaine de la lutte intérieure ou d’un exercice fluide et harmonieux ?

Ni une lutte intérieure, ni un exercice fluide et harmonieux. Écrire pour moi, c’est d’abord être à l’écoute, écoute intérieure mais aussi écoute du monde autour. Il se passe beaucoup de choses dans cette écoute — c’est vrai pour chacun de nous qui s’en donne la peine - et parvenir à en capter une partie, à en faire une écriture, ce n’est déjà pas mal.

 

 

 

 

 

 

 

 

Passionnés d'écriture, à vos stylos !

La quatrième édition

du Prix Pampelune est ouverte

Le thème est libre

La date limite d'envoi de votre nouvelle est le 23/02/2023 avant minuit

LES PRIX :

  •  Le lauréat du Premier prix recevra 200 €

  • Le Second Prix recevra 50 €

  • Un recueil des meilleures nouvelles sera édité en Broché et en Ebook

Il sera disponible sur différentes plateformes de vente en ligne

(Fnac, Amazon, Kobo...)

  • Tous les participants recevront le recueil du Prix Pampelune

de l'année précédente en format Ebook !

LE JURY :

Ségolène Tortat (Rédactrice et correctrice relectrice)

Martin Trystram (Scénariste et dessinateur BD)

Pascale Leconte (Auteure, romancière).

CONDITIONS DE PARTICIPATION :

- Chaque candidat devra nous faire parvenir un texte inédit dans le genre de son choix, en format Word, pdf ou odt, comportant au maximum 15000 caractères (espaces non compris).

- Une seule nouvelle par participant.

- Les frais d’inscription doivent être acquittés (5 €) par virement bancaire (Rib à demander par mail : panpelunee@yahoo.fr). 

- Il n'y a pas de limite d'âge pour participer au concours.

- Les lauréats des éditions précédentes sont autorisés à concourir à nouveau, exceptés les lauréats du premier prix et du second prix. En revanche, la nouvelle proposée ne doit jamais avoir été primée lors d’un autre concours ni publiée dans un livre.

ENVOI DES TEXTES :

- Fichier numérique au format Word, pdf ou odt, comportant en objet le nom du concours "Prix Pampelune" à panpelunee@yahoo.fr

- Informations à préciser dans le mail (à envoyer à panpelunee@yahoo.fr) :

NOM, PRÉNOM, DATE DE NAISSANCE, ADRESSE,

TÉLÉPHONE, COURRIEL, TITRE DE LA NOUVELLE

Et comment avez-vous entendu parler de ce concours ?

 

 

Date limite d’envoi :

23/02/2023 à minuit

 

Informations importantes :

Le lauréat ou la lauréate du premier prix recevra 200 euros. Et celui du second prix recevra 50 euros par virement bancaire européen.
Les deux nouvelles primées ainsi qu'une quinzaine de textes retenus par le jury feront l’objet d’une édition papier et ebook par nos soins que les candidats pourront se procurer moyennant une participation.
L’inscription au concours vaut acceptation pour l’édition.

Les candidats s’engagent à ne pas demander de droits d’auteur en cas de publication de leur texte. Il s'agit de renoncer uniquement au droit d'auteur dans le cadre du recueil des récits lauréats édités pour le "Prix Pampelune". Les candidats lauréats conservent leurs droits d'auteur sur leur nouvelle si elle est publiée ultérieurement dans un autre ouvrage.

 

 

Les résultats seront donnés le 2 avril 2023 sur cette page.

Pour être tenu informé, il est conseillé de cliquer sur "J'aime" la page facebook du concours :

https://www.facebook.com/prixpampelune/?modal=admin_todo_tourCONCOURS DE NOUVELLES PAMPELUNE 2023

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